Il essaie péniblement d’esquiver et on l’entendrait presque dire « aïe » à chaque contact douloureux. Le robot ci-dessus, présenté par des chercheurs de l’université Leibniz de Hanovre, est capable d’avoir mal, grâce à un capteur sensible calqué sur notre système neuronal. Plus la zone est malmenée, plus l’information est transmise au robot, qui adapte son comportement en fonction de l’intensité de la douleur.
Pourquoi tant de haine ? Ce n’est pas parce que ses inventeurs sont de gros sadiques, mais plutôt parce qu’ils sont persuadés que si les robots ressentent la douleur, ils...
Faire mal aux robots pour qu’ils se protègent... et nous protègent aussi
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